Quand les Prussiens un vingt septembre et les Austros
Déjà l’automne un jour mouillé en mil sept cent
Quatre vingt douze c’était qu’avec notre Bon Gros
C’est évident que les Français fussent décents
Qu’ils soient gentils avec leur Roi avec leur Reine
Cessant aussi de battre le Pavé du Roi
C’est évident c’est pour leur bien Quelle déveine
Que ces alliés aient traversé de mauvais bois
Qu’ils fussent bons pour l’hôpital et qu’ils aient dû
Tourner talons quand les canons de la racaille
Ont eu raison de leur courage Un coup tordu
C’est évident maudits festins pour la bataille
C’est évident qu’il leur faudrait un jour prochain
Disait leur Duc et Maréchal venir en armes
Et l’Empereur de renchérir de son cousin
A libérer et ils pleuraient à chaudes larmes
C’est évident qu’on ne peut pas impunément
Laisser les gens couper la tête au Souverain
A ce bazar fallait mettre ordre assurément
Où irait-on si la racaille allait sans freins
20 septembre 2011
Cette année on va fêter cette victoire de 220 ans
Il nous faut espérer que cette année nous aurons pris le chemin
Que nos ancêtres nous ont tracé .